05 octobre, 2014

La manif pour tous du 5 octobre 2014 : reportage photos

Le hasard a voulu que la première banderole que je voie soit celle-là.
Il y a une cohérence dans la mobilisation.


Tout le parcours est ponctué de ces
clins d'œil depuis fenêtres et balcons.



Tête du cortège. Il est 3:00, on vient de passer le pont de l'Alma.
Les derniers n'ont pas encore quitté la porte Dauphine.
L'Espagne est à l'honneur (en orange, le représentant de HazteOir).




Kamel Bechikh, Arnaud Bouthéon, des Mariannes…
La laïcité républicaine est-elle vraiment la solution ?



Pas besoin de traduire… 




Pont de l'Alma. Le défilé sera interminable.




Le Dr Xavier Mirabel, d'Alliance Vita. 


Beaucoup de soutanes ! En voici une.



Rose pour les filles, bleu pour les garçons.



“Pas de mère anonyme !”



On pense déjà très fort à l'euthanasie. 



On sent des groupes rompus à l'exercice.
Ils ne démobiliseront pas : ni sur le respect de l'embryon,
ni sur les soins palliatifs, ni sur l'euthanasie, ni sur le gender.



La France ? Peut-être le seul pays au monde à avoir
manifesté contre la légalisation des mères porteuses. 



Il y a tant de causes à défendre !




Le maréchal Gallieni.
Même les pierres crieront !


Mais en attendant,
ce manifestant y met du sien.



Le maréchal Fayolle.
Aurait-il pu s'imaginer qu'on se batterait un jour
contre ces ennemis intérieurs ? 


Carte postale.



Zone de comptage. 500.000.



Saint-François-Xavier, sur le parcours.
Des manifestants entrent et prient, avant de repartir pour la marche.
C'est le nerf de la guerre. 


Sur le parcours, des T-shirts au profit des Chrétiens d'Orient. 



On approche de l'arrivée. La route est saturée : ceux qui arrivent les premiers
commencent à rentrer chez eux pour laisser la place aux suivants.

 



L'humain n'est pas une marchandise ! 



Les enfants sont innombrables.
Combien d'enfants de familles nombreuses
sur le parcours ?
On comprend mieux pourquoi le gouvernement
les déteste au point de détricoter la
politique familiale.




Un flot ininterropu. 




Le cortège continue.



Toutes générations confondues. 



Ça continue encore. 



Tous des sans-dent d'un père et d'une mère !
Pauvre Hollande…



Le stand des produits dérivés ne chôme pas. C'est pour la cause !



Toujours et encore…



Et encore…



Le podium, place du 18 juin 1940.
Quoi, une place un peu plus grande, ç'aurait été mieux ?
Bien sûr. Mais c'est le pouvoir qui décide. Pas fou ! 



Pour la famille, les Français descendent dans la rue.
Leur mobilisation est incroyable, exemplaire, tenace.
A peine si on ne s'est pas donné rendez-vous pour la prochaine fois. 



Le Père Abbé du Barroux était de passage…


***

Dislocation dans le calme (sous la Tour Montparnasse, on voit
quelques policiers en civil  gagner les périphéries de la foule).



Des jeunes ont envie d'un peu de confrontation. 



Ils l'auront…



Pris en sandwich entre deux barrages de CRS.



Cela fait beaucoup de véhicules, non, pour quelques dizaines
de jeunes dont le principal défaut est d'être jeunes
et de chanter à la santé du roi de France ?

Si la République se disloque, ce sera plutôt d'avoir
détruit les fondements sur lesquels repose toute société :

Famille et filiation.


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2 commentaires:

Anonyme a dit…

Vous oubliez que la décomposition de la société est très avancée dans les pays à monarchies : Belgique, Grande-Bretagne, Pays-Bas, Espagne...
Ce n'est pas la République qui se disloque, c'est l'Occident quel que soit le régime institutionnel en place. Et le traité transatlantique entérinera ce changement de société. Mais là, pas de rassemblement, de manif en vue. Une fois dedans, aucun cortège si grand soit-il ne pourra revenir sur les lois de société car elles feront partie de l'uniformisation des normes. La GPA et la PMA développées aux USA seront des normes à appliquer dans l'ensemble de l'espace européen.

Anonyme a dit…

Les monarchies en question n'en sont pas : ces souverains ne sont pas souverains, ils n'ont même pas autant leur mot à dire que le plus humble de leurs "sujets".

Une vraie royauté, c'est celle où se trouve, au sommet de l'Etat, une personne qui ne doit rien à personne, ni argent, ni récompenses pour leur soutien, qui n'a pas à tenir compte des sondages ni à préparer une réélection, et qui a le pouvoir, au sommet, de décider en conscience. Où voyez-vous cela dans ces pays en déliquescence ?
Qu'il y ait, pour symboliser l'Etat, un roi ou une reine (et ce n'est pas un mal) ou un François Hollande, ce n'est pas indifférent. Mais ce sont toujours des Républiques parlementaires, pas des monarchies.

 
[]